Le 14ème degré du Rite Écossais Ancien et Accepté est un des plus complexes, mais aussi un des plus complets. Sa complexité s’explique par :
- la diversité des sources qui l’alimentent,
- son positionnement comme synthèse des degrés précédents et fin des degrés salomoniens,
- mais aussi comme introduction aux Chapitres,
- enfin son message, qui fait le lien entre l’ancienne Loi qu’il clôt et la nouvelle qu’il annonce.
Ce livre étudie :
- la genèse du grade,
- les personnages de la légende,
- les modèles du Temple de Salomon (ceux d’Hénoch, de Moïse, et de David),
- sa structure (le Saint des Saints, le Lieu Saint, le Parvis et le Portique),
- ses trésors (l’Arche d’alliance, le candélabre d’or à sept branches, la table des pains de proposition, l’autel des parfums, la mer d’airain, l’autel des holocaustes),
- la Voûte Sacrée et la Loge Royale,
- les significations des couleurs et des nombres dans le rituel,
- la pierre d’agate, la pierre de fondation, la pierre cubique à pointe et la pierre cachée,
- l’architecture des différentes initiations,
- les décors du Grand Élu, Parfait et Sublime Maçon,
- l’idolâtrie de Salomon, la violation de ses devoirs et ses conséquences,
- le martèlement du Nom Ineffable,
- le sacrifice de Galaad,
- l’exil du peuple juif,
- la dispersion des Grands Élus, Parfaits et Sublimes Maçons,
- et enfin le 14ème degré, perçu comme synthèse des grades qui le précèdent et prémisse de ceux qui le suivent.
Ce degré nous enseigne que sans amour, il n’y a pas de véritable connaissance…