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L’utopie, vocable forgé par T. More, ne décrit pas seulement un pays imaginaire dans lequel un gouvernement idéal règne sur un peuple heureux, mais aussi une vue politique ou sociale ne tenant pas compte de la réalité et une conception qui paraît chimérique, irréalisable, bref un mirage, un rêve.
L’utopie, vocable forgé par T. More, ne décrit pas seulement un pays imaginaire dans lequel un gouvernement idéal règne sur un peuple heureux, mais aussi une vue politique ou sociale ne tenant pas compte de la réalité et une conception qui paraît chimérique, irréalisable, bref un mirage, un rêve.
L’utopie, vocable forgé par Thomas More, ne décrit pas seulement un pays imaginaire dans lequel un gouvernement idéal règne sur un peuple heureux, mais aussi un idéal, une vue politique ou sociale ne tenant pas compte de la réalité, et encore, plus généralement une conception ou projet qui paraît chimérique, irréalisable, bref un mirage, un rêve, une rêverie.
Au XVIIème siècle, parce que l’absolutisme empêche l’expression libre des revendications du peuple et en raison des aspirations de plus en plus précises de la Bourgeoisie, devenue une classe sociale puissante mais encore écartée du pouvoir, la philosophie politique, les critiques acerbes ou modérées, prennent l’allure anodine de voyages fictifs et d’explorations imaginaires.
Pour traiter les différents chapitres très variés de ce volume nous avons fait appel à des auteurs particulièrement compétents sans que cela implique nécessairement leur appartenance à l’ordre maçonnique.
Certains chapitres peuvent se rattacher à l’hermétisme, à la magie, mais n’est-ce pas là encore utopie ?
L’utopie, vocable forgé par T. More, ne décrit pas seulement un pays imaginaire dans lequel un gouvernement idéal règne sur un peuple heureux, mais aussi une vue politique ou sociale ne tenant pas compte de la réalité et une conception qui paraît chimérique, irréalisable, bref un mirage, un rêve.
